Zones grises

Bologne, Piazza Verdi, samedi 23 juin 2018.

Sous les étoiles, l’écrivain Guido Armellini parle… et parle bien. Il défend des causes qui semblent perdues, comme celle des migrants. Il défend aussi la culture et le livre. Il recommande à ses nombreux auditeurs d’écrire non seulement ce qui leur semble beau mais aussi d’exprimer leurs mauvaises pensées, d’explorer leurs zones grises.
Je me sens si bien ce soir-là qu’il ne me vient aucune pensée désagréable. Puis, après quelques semaines, quelques mois, les deux personnages que vous allez découvrir ont commencé à se quereller de plus en plus fort dans ma tête… Lire la suite

Langue neuve

En passant

Dans une langue neuve, on se refait à neuf. Quoi de mieux pour démarrer une nouvelle vie où l’on n’aurait encore vécu ni douleur ni chagrin d’amour ? En cultivant une langue étrangère dans laquelle on n’a ni chagrin ni mémoire, on peut enfin s’oublier.

Régine DetambelLes livres prennent soin de nous

Le hasard

En passant

Je ne crois pas au hasard. Il n’y a qu’une énergie qui court perpétuellement pour maintenir la vie. Et qui surgit à certains moments où on ne l’attend pas.

Mon père

Contraste à Milan

Fin 2018 : l’immeuble de la librairie Taschen, 17 via Meravigli à Milan, est en travaux. Une gigantesque publicité recouvre l’échafaudage.